Don Mateo, gentleman séducteur, fait la connaissance dans un train, de la provocante Concha Perez. Il la retrouve quelques mois plus tard et s’en éprend violemment. Conchita aguiche le pauvre « pantin », le fait languir, sans jamais se donner à lui, attisant sa jalousie de plus en plus violente…
« Conchita Montenegro échappe aux standards psychiques des actrices des années 1920 françaises. Brune incandescente, nerveuse et moqueuse, mince et animale, elle est une « préfiguration » éblouissante de Marlène. Déjà les joues creuses, Montenegro accepta une séquence de nu intégral, danseuse sévillane seulement vêtue de ses bas noirs. »
Dominique Païni